GTA Motor : Le constructeur automobile espagnol qui a osé rêver grand
Quand on parle de GTA Motor, on pense direct à la Spano, cette supercar espagnole qui envoie du lourd. Mais avant de faire trembler l’asphalte, il y a eu une histoire, un rêve, une ambition. Fondée par Domingo Ochoa en 1994, la marque ne s’est pas lancée tête baissée dans la production. Elle a commencé par se faire une expérience dans le sport automobile. Elle a participé à des saisons dans des championnats comme le European F3 Open ou le Superleague Formula. Petit à petit, GTA s’est fait un nom, une réputation, un savoir-faire. Et puis, un jour, Ochoa s’est dit : « Pourquoi pas une voiture à nous, une vraie, une qui claque ? » C’est à ce moment que le projet Spano a vu le jour. L’idée était de créer une supercar espagnole.
Elle devait être capable de rivaliser avec les plus grandes. Grâce à son expérience, GTA Motor a mis les bouchées doubles. Avec une équipe de passionnés, ils ont sorti un bolide qui ne fait pas semblant. En 2009, la première GTA Spano voit le jour. Le monde découvre alors que l’Espagne peut aussi jouer dans la cour des grands.
GTA Motor : De la course à la route, une transition musclée
Au départ, GTA Motor c’était surtout de la compétition. Il s’agissait des paddocks, des chronos et des mécanos qui bossent jour et nuit. Mais avec le temps, l’envie de passer à autre chose s’est fait sentir. Et franchement, qui n’a jamais rêvé de voir son nom sur une voiture qui déchire ? Grâce à ses années dans le sport auto, la marque avait déjà les bases. Elle avait la performance, la technologie, le design, et surtout, une vraie culture de la gagne. Alors, quand ils ont décidé de créer la Spano, ils n’ont pas fait les choses à moitié. Moteur V10, châssis en carbone, design agressif et finitions de luxe, tout y est passé. Et le résultat ? Une bête de course homologuée pour la route, capable de taper les 350 km/h sans sourciller.
Mais au-delà des chiffres, c’est l’esprit GTA qui impressionne. Il y a une volonté de faire différemment. La marque propose une supercar artisanale, pensée pour les puristes. Depuis, la marque continue d’évoluer, en gardant toujours cette flamme, ce grain de folie qui fait toute la différence.
Une identité espagnole affirmée et assumée
Ce qui frappe chez GTA Motor, c’est cette fierté d’être espagnol, de revendiquer ses racines sans complexe. Pas question de copier les Italiens ou les Allemands, ici on fait du 100 % ibérique. Le design est signé Sento Pallardó, un artiste local qui a su donner une vraie gueule à la Spano. Les matériaux viennent du coin, les idées aussi. Et ça se sent dans chaque détail : les lignes, les couleurs, l’ambiance. GTA Motor, c’est un peu comme une paella bien faite. Ça vient du cœur. C’est généreux. Ça ne triche pas. Même le nom « Spano » claque comme un hommage à la péninsule.
La marque mise sur l’exclusivité, la performance et l’innovation. Grâce à cela, elle s’est taillée une place dans le cercle très fermé des constructeurs de supercars artisanales. Et franchement, ça fait plaisir de voir une entreprise qui ose. Elle innove. Elle ne cherche pas à plaire à tout le monde. GTA Motor, c’est l’Espagne qui fonce, qui vibre, qui rugit.
