Laraki Borac 2005 – Les performances sont logiquement exceptionnelles

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La Laraki Borac est la deuxième voiture du constructeur, présentée au salon de Genève de 2005.

La Laraki Borac 2005, c’est pas juste une voiture. C’est une déclaration. Une claque dans le monde des supercars. Conçue par Karim Laraki, un designer marocain passionné, elle a été dévoilée au Salon de Genève en 2005. Et franchement, elle a fait tourner les têtes. Avec son look de vaisseau spatial et ses performances de fusée, elle voulait rivaliser avec les Ferrari, Lamborghini et autres Aston Martin. Rien que ça. Et même si elle n’a été produite qu’en très petite série, elle reste un symbole de l’audace automobile marocaine. On va plonger dans ses détails, et tu vas voir, elle envoie du lourd.

Design extérieur : Un ovni sur roues

Dès que tu poses les yeux sur la Laraki Borac, tu sais que t’as affaire à du sérieux. Son design est audacieux, presque provocant. Un long capot qui semble infini, un pare-brise incliné comme une lame, et un arrière en forme de V qui donne une allure de prédateur. Elle est large, basse, et imposante. En rouge ou en noir, elle impose le respect. Les lignes sont tendues, les courbes musclées. Elle ne cherche pas à plaire à tout le monde, elle veut marquer les esprits. Et ça marche. Chaque détail semble pensé pour l’aérodynamisme, mais aussi pour le style. Les jantes de 19 pouces. Les prises d’air sont agressives. Les feux arrière sont futuristes. Tout est là pour te dire : “Regarde-moi, je suis unique.” En bref, la Borac, c’est une œuvre d’art roulante. Et franchement, elle n’a rien à envier aux grandes marques européennes.

Motorisation : Un monstre sous le capot

Sous le capot, c’est pas du pipeau. La Laraki Borac 2005 embarque un V12 Mercedes-Benz de 6 litres. Oui, un V12. Et pas n’importe lequel : 540 chevaux, 750 Nm de couple. Autant dire que ça pousse fort. Le 0 à 100 km/h ? En 4,5 secondes. Vitesse max ? 310 km/h. Autant dire que t’as intérêt à bien tenir le volant. La transmission est en propulsion, avec une boîte manuelle à 6 rapports. C’est brut, c’est pur, c’est fait pour les vrais. Et niveau sonorité, c’est une symphonie mécanique. Chaque accélération te colle au siège. Les suspensions indépendantes à double triangulation assurent une tenue de route impeccable. Bref, c’est pas juste une belle gueule, c’est aussi une bête de course. Et même si elle n’a pas été produite en masse, elle mérite sa place dans le panthéon des supercars.

Intérieur : Luxe et caractère

À l’intérieur, c’est pas du plastique cheap. La Borac mise sur le luxe et le confort, sans oublier le style. Les sièges sont en cuir haut de gamme, les finitions en aluminium brossé, et l’ambiance est clairement orientée grand tourisme. On sent que Laraki voulait offrir une expérience premium. Le tableau de bord est épuré, mais complet. Les commandes tombent sous la main, et l’ergonomie est bien pensée. Y’a même des touches de bois précieux, histoire de rappeler que t’es dans une voiture d’exception. L’espace est généreux, malgré la ligne basse. Et niveau insonorisation, c’est plutôt bien foutu. Tu peux cruiser tranquille ou envoyer du lourd, selon ton humeur. En résumé, l’intérieur de la Borac, c’est du sérieux. Du raffiné. Du marocain avec du panache.

Tarifs Laraki Borac : Une rareté qui se paie

Alors là, accroche-toi. La Laraki Borac 2005, c’est pas pour toutes les bourses. À sa sortie, elle était affichée à 500 000 euros. Oui, un demi-million. Mais faut dire qu’elle n’a été produite qu’à 25 exemplaires. Autant dire que c’est une pièce de collection. Et aujourd’hui, si t’en trouves une, le prix peut grimper encore plus haut. C’est le genre de voiture qu’on achète pas juste pour rouler, mais pour posséder un bout d’histoire. Une supercar marocaine, conçue avec passion, et qui a osé défier les géants. Alors oui, c’est cher. Mais c’est aussi unique. Et ça, ça n’a pas de prix.

Concurrents Laraki Borac : Des géants à affronter

La Borac voulait jouer dans la cour des grands. Et elle s’est frottée aux meilleurs. Ferrari F430, Lamborghini Gallardo, Porsche 911 Turbo, Aston Martin DB9… que du lourd. Niveau performance, elle tient la route et niveau design, elle se démarque. Niveau exclusivité, elle les surpasse. Mais faut avouer que ces marques ont l’avantage de l’expérience, du réseau, et de la notoriété. La Borac, elle, joue la carte de l’originalité. Elle ne cherche pas à copier, elle veut créer. Et ça, c’est courageux. Alors oui, elle n’a pas eu le succès commercial des autres. Mais elle a marqué les esprits. Et ça, c’est déjà énorme.

Résumé : Une légende méconnue

La Laraki Borac 2005, c’est une voiture qui a osé. Un pari fou, mais passionné. Design unique, moteur de malade, intérieur luxueux, prix élitiste… elle coche toutes les cases de la supercar. Et même si elle est restée confidentielle, elle mérite qu’on parle d’elle. Parce qu’elle incarne l’audace, le rêve, et le savoir-faire marocain. Une voiture qui ne ressemble à aucune autre. Et qui, malgré les critiques, a laissé une empreinte. Bref, la Borac, c’est pas juste une voiture. C’est une histoire. Site officiel Laraki

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