Funyo Sport Proto : Le proto français qui met tout le monde d’accord
Le Funyo Sport Proto, c’est pas juste une voiture, c’est une bête taillée pour la piste, pensée pour les puristes du volant. Son châssis tubulaire en acier, ultra rigide, donne une base solide à une carrosserie légère et affûtée comme une lame. Les lignes sont tendues. Les courbes sont fonctionnelles. Chaque élément a une raison d’être : réduire le poids, améliorer l’appui, et maximiser la vitesse. Pas de gadgets inutiles, pas de fioritures esthétiques, juste du brut, du vrai, du racing. Les jantes Team Dynamics en 17 pouces. Les pneus Michelin. L’aéro bien étudiée donne à ce proto une allure de mini LMP, mais sans les coûts délirants. Le cockpit est spartiate. Tout est à portée de main. Volant racing, instrumentation digitale, baquet FIA, et harnais six points. On est là pour piloter, pas pour faire du tourisme.
Motorisation : du Peugeot qui pousse fort
Sous le capot, c’est du sérieux. Le Funyo SP05 Evo embarque le moteur de la Peugeot 308 GTI, un 1.6 turbo qui crache 270 chevaux à pleine charge. Ce bloc est couplé à une boîte séquentielle SADEV ultra rapide. Il permet des relances violentes. La montée en régime claque. Avec seulement 670 kg sur la balance, le rapport poids/puissance est juste monstrueux. Le 0 à 100 km/h est abattu en moins de 4 secondes, et la vitesse max flirte avec les 250 km/h2. C’est pas une voiture de route déguisée en pistarde, c’est une vraie machine de guerre conçue pour les circuits. Le comportement est vif, précis, et ultra joueur. Tu ressens chaque vibration, chaque transfert de masse, chaque appui. C’est du pilotage à l’état pur, sans filtre, sans assistance, juste toi et la machine.
Prix : le ticket d’entrée pour la vraie course
Et là, Funyo fait très fort. Parce que rouler en proto, normalement, c’est réservé aux gros budgets, aux teams bien installés, ou aux gentlemen drivers blindés. Mais avec Funyo, tu peux t’offrir une vraie voiture de course pour environ 50 000 € neuve. Et en occasion, ça descend encore plus bas. Les coûts d’entretien sont maîtrisés, les pièces sont accessibles, et le réseau est bien structuré. En plus, Funyo organise la Sprint CUP, un championnat monotype encadré par la FFSA, avec des courses sur les plus beaux circuits français et européens1. Tu peux rouler à Dijon, au Paul Ricard, à Nogaro, et même à Zandvoort. L’ambiance est conviviale, le niveau est relevé, et l’expérience est ultra formatrice. C’est le tremplin idéal pour progresser, se faire plaisir, et pourquoi pas viser plus haut. Site officiel Funyo
